Hanjibang #15


" Si l’on peignait ne serait-ce qu’une seule fois ton visage de cette manière, plus personne ne pourrait t’oublier. Et même ceux qui ne t’auraient pas connu de ton vivant auront le sentiment de ta présence, et d’être en face de toi, bien des années après ta mort."

in "Mon nom est rouge" d’Orhan Pamuk (1998)